Le vrai bonheur
« C’est la connaissance de la toute-puissance du Christ qui nous remplit de bonheur »
Que l’on parle de famille, de religion, de justice, d'autorité, aussi bien que de pudeur, de charité, d'honnêteté, d'honneur ; les principes sur lesquels notre société disait se fonder, sont terriblement remis en question de nos jours.
La jeunesse se révolte de plus en plus contre les hypocrisies indéniables, les inégalités de toutes sortes, les innombrables injustices. En fait, pour des multitudes aujourd’hui, il n'existe plus ni bien ni mal. Qu'y a-t-il derrière ces négations et ce refus de toute morale ? Rien d'autre que l'orgueil et l'égoïsme, c'est-à-dire le fond du cœur humain depuis que le péché est entré dans le monde : « Par un seul homme, nous dit la Bible, le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort » (Romains 5 v. 12).
Le pain ne suffit pas.
Il est assez curieux de relever ce propos de Jean Jaurès, le grand tribun socialiste du début du 20ème siècle : « Le jour où vous aurez donné à l'ouvrier de quoi vivre largement, vous n'aurez pas encore fait son bonheur. Il y a des biens éternels dont la créature humaine ne saurait se passer ».
Le véritable bonheur se trouve auprès de Dieu, et sans Dieu il n'existe pas. Loin de Dieu vous trouverez peut-être le plaisir, des joies factices et passagères, mais pas le vrai bonheur de l’âme. Qu'est-il ce bonheur ? C'est vivre avec Dieu. Mais pour cela il faut d'abord et avant tout avoir réglé avec Lui la question de nos péchés qui nous séparent de sa présence. Comment ôter ces péchés ? Nous ne le pouvons pas par nous-mêmes, seul Dieu en a le pouvoir. En vertu du sacrifice de Christ accompli à la croix, Dieu pardonne à tous ceux qui croient en Lui.
L'exemple suprême de l'amour vrai, nous l'avons en Jésus-Christ donnant sa vie pour une humanité perdue. « Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous » (1 Jean 3 v. 16). Et nous l'avons en Dieu lui-même qui « a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3 v. 16).